La CNL qui a toujours eu une volonté hégémonique chez notre bailleur, s’est particulièrement distinguée lors de la réunion de concertation territoriale hier mercredi 11 avril 2019 chez notre bailleur.

C’est réunion qui ont lieu au minimum 2 fois par an et qui orientent 'peu hélas) la politique d’ANTIN. Notre bailleur ayant tendance à confondre concertation et information, commencent toujours de la même façon :  

1. Approbation du compte rendu de la réunion précédente ;

2.  Élection du Président de séance.
   

L’élection du Président séance n’est pas neutre, en plus de donner la parole aux différents intervenants c’est le Président qui valide le compte rendu de la séance en attendant son approbation à la réunion suivante. Il est d’usage que chaque confédération tienne cette présidence à tour de rôle.

La CNL est très attachée à avoir la présidence de la séance pour garder un contrôle du compte rendu, et c’est la CNL qui tenait la présidence de séance lors de la réunion précédente, de ce fait, la présidence devait revenir à une autre confédération.

Lors de la réunion d’hier, au moment d’élire le Président de séance trois candidats se sont déclarés :

1. Un candidat dit indépendant mais qui a toujours siéger dans les rangs de la CNL, y compris à la concertation régionale qui est réservée par la loi aux ...

La CNL qui a toujours eu une volonté hégémonique chez notre bailleur, s’est particulièrement distinguée lors de la réunion de concertation territoriale hier mercredi 11 avril 2019 chez notre bailleur.

C’est réunion qui ont lieu au minimum 2 fois par an et qui orientent 'peu hélas) la politique d’ANTIN. Notre bailleur ayant tendance à confondre concertation et information, commencent toujours de la même façon :  

1. Approbation du compte rendu de la réunion précédente ;

2.  Élection du Président de séance.
   

L’élection du Président séance n’est pas neutre, en plus de donner la parole aux différents intervenants c’est le Président qui valide le compte rendu de la séance en attendant son approbation à la réunion suivante. Il est d’usage que chaque confédération tienne cette présidence à tour de rôle.

La CNL est très attachée à avoir la présidence de la séance pour garder un contrôle du compte rendu, et c’est la CNL qui tenait la présidence de séance lors de la réunion précédente, de ce fait, la présidence devait revenir à une autre confédération.

Lors de la réunion d’hier, au moment d’élire le Président de séance trois candidats se sont déclarés :

1. Un candidat dit indépendant mais qui a toujours siéger dans les rangs de la CNL, y compris à la concertation régionale qui est réservée par la loi aux seules confédérations ou aux organisations indépendantes représentant au minimum 10% du parc du bailleur ;

2. Une candidate CLCV proposée par la CGL pour permettre la parité hommes femmes, ce qui est malheureusement loin d’être le cas ;

3. Et moi-même pour l’AFOC.

La Candidate CLCV au profit de laquelle j’avais décidé de retirer ma candidature au nom de la mixité, ayant décliné l’offre de prendre cette présidence, j’ai donc renouveler ma candidature

Le candidat dit indépendant (mais qui a toujours siéger avec la CNL) aurait, parait-il quitté la CNL, mais très curieusement TOUS les membres de la CNL présents ont voté pour ce candidat contre ma candidature. Surprenant non pour une personne qui aurait déserté la CNL ?

Ce candidat ayant recueilli la majorité des votes (CNL, CLCV) a donc prit la présidence de séance au mépris de la règle tacite qui veut que cette présidence tourne, car j’ai beaucoup de mal à croire que les membres de la CNL présents aient pu voter pour un renégat, de fraiche date qui plus est.

Et c’est là que la volonté hégémonique de la CNL a commencé à s’exercer ce Président de séance donnant la parole aux intervenant CNL, CLCV, bailleur qui la demandaient, voire laissait ces même intervenant prendre la parole sans qu’il la leur ait donné,, de même n’intervenant pas quand lorsqu’il me la donner avec difficulté, ceux-ci m’ont coupé la parole.

Par contre, lorsque excéder de ne jamais avoir la parole, car superbement ignoré par le Président, j’ai décidé de la prendre d’office comme le faisait les intervenant CNL, CLCV, bailleur, il m’a très brutalement coupé la parole, prétendant m’e museler et exigeant que j’attende son bon vouloir pour pouvoir intervenir, comprenez très rarement, voire jamais. Lorsque je dis que très brutalement, c’était hallucinant, on aurait cru entendre un dictateur d’opérette intimant l’ordre de se taire a l’auditoire, c’était tellement flagrant que , la CGL a protesté avec moi, et même un  représentant de la CNL s’est cru obligé de protester aussi.

Bref devant une telle attitude et une telle dictature, j’ai décidé de quitter la séance en signe de protestation ce qui de toute façon ne changeait pas grand-chose vu que ce président me refusait la parole.